Aujourd'hui, c'est Charles FITERMAN,
ministre du gouvernement Mauroy en 1981, qui rappelle son soutien fidèle à Ségolène Royal, et ses bonnes raisons d'espérer la voir candidate de la gauche en 2012 :
L'aggravation de la crise et des conséquences de la politique antipopulaire de Nicolas Sarkozy, le spectacle lamentable offert par les turpitudes des affairistes en tout genre qui peuplent les
allées du pouvoir, portent à choisir Ségolène Royal comme porte-drapeau des forces du changement.
Parce qu'elle avance des propositions justes, fortes et claires de réforme du système bancaire et de la fiscalité, sans la réalisation desquelles aucune promesse sociale ne
pourra être tenue.
Parce qu'elle propose d'agir au plan national, européen et aussi mondial dans une démarche ouverte et constructive, et non par des replis illusoires coûteux et non conformes à la
vocation de la gauche.
Parce que c'est une femme de caractère, volontaire et combative qui a su tirer leçon de son expérience, et qui a prouvé sa compétence et son intégrité - non dans le seul
discours, mais par des actes dans sa Région et dans les diverses responsabilités qu'elle a déjà assumées.
Il faut gagner et ensuite réussir, car le devoir est double. On n'y parviendra pas dans le flou des propos, les promesses creuses et la recherche d'un consensus mou, mais par
le courage, l'inventivité et la détermination à faire avancer des solutions concrètes et neuves et à susciter ainsi l'élan et la confiance du pays.
Ségolène Royal est la mieux placée pour y parvenir.
Bel aréopage de journalistes pour commenter l'Université d'été du PS sous un autre angle : "L'hypothèse S. Royal", thème choisi pour Le grand débat de i-télé ce lundi.
Les voilà qui découvrent la candidate oubliée des sondages bizarres, derrière les "deux favoris" d'une opinion que personne ne connaît, dans des primaires ouvertes. Les voilà qui reconnaissent un
style, une ténacité, et aussi la fidélité de son électorat.
"Elle l'a compris", "elle le comprend, "autre chose", "elle dit beaucoup plus", "discours plus précis", "liberté de ton", "allie l'acte au discours", "va à la rencontre des gens", "elle a
troublé" : que n'avaient-ils écouté plus tôt ? Et encore... les débats n'ont pas encore commencé.
Et "elle est tellement imprévisible", "elle s'était distinguée", "elle a eu l'intuition de la sensibilité populaire", "formule heureuse", "au-delà des barrières", "elle a des partisans très
déterminés", "facile à comprendre" : n'est-ce pas un profil que les Français peuvent souhaiter comme chef de l'État ?
Au moins, les vacances ont permis à chacun de se reposer et d'y voir plus clair. À suivre...
Nous sommes dans une période neuve, d'avant des primaires pour la prochaine élection présidentielle, dans presque un an.
Avant que toutes les candidatures ne soient officielles, dans un peu plus d'un mois, jetons un coup d'œil en arrière. Il s'agit d'une video qui a été peu vue, d'une époque où personne ne savait
encore qui représenterait la gauche face à Sarkozy en 2007.
Si Ségolène Royal a mûri depuis, avec une expérience - unique - acquise sur le terrain, rien ne permet de dire qu'elle ne pouvait gegner à l'époque. Sa forte avancée alors dans les sondages ne
peut être considérée comme artificielle : elle faisait déjà ses preuves, on peut le dire.
Entretien sur RTL, ce matin entre Ségolène Royal et Jean-Michel Apathie, qu'on ne peut qualifier de groupie... Il a du mal à laisser la parole, la contredit, traque les "sources" des affirmations
de son intermocutrice. Voilà une interview sans concession, et des réponses précises :
J'organise avec la fédération PS des Deux-Sèvres et sa première secrétaire Françoise Billy,
une Fête de la Rose le samedi 25 aoûtà Melle.
Je souhaite vous y inviter afin que cette fête soit l'occasion d'un rassemblement amical pour les socialistes, les sympathisants, nos amis de la gauche, et bien sûr Désirs d'Avenir.
Au programme, sont prévus, outre la partie politique, un grand pique-nique, un marché de produits locaux et des concerts.
Sur le plan pratique, cette fête commencera à midi pour se terminer dans la fin de l'après-midi.
Des navettes en car seront organisées au départ de la gare TGV de Poitiers toute la matinée jusqu'à 14 heures, puis pour le retour.
Je serai très heureuse de vous retrouver à cette occasion.
Amitiés à toutes et à tous !
Il y aura, lors de ce rassemblement, un stand Désirs d'Avenir et un accueil spécial où le Comité Désirs d'avenir 78 sera présent. Ce sera l'occasion d'échanges et de rencontre entre
tous ceux qui auront pu faire le déplacement.
Pour ceux et celles qui hésitaient encore, il y aura des navettes pour Melle à la descente du TGV Paris-Poitiers : voir détails et organisation. Et un car partira de Paris, porte d'Orléans, à 6h ce samedi matin (prix très réduit) . S'informer très vite auprès de Fatou. N'hésitez pas à nous
contacter.
Bonne rentrée avec Ségolène Royal !
* quand même pas un car à Melle, ce serait trop...
Dans le supplément ParisObs du Nouvel Observateur de cette semaine, un portrait de notre voisine d'Élancourt, candidate PS dans la 11e :
"Tracts en main, elle se précipite sur les joueurs de pétanque. « C'estmoi la candidatedu Parti socialiste. En vrai. » Ils la
regardent avec étonnement. Cette jolie fille de 42 ans, à l'allure juvénile, regard droit et sourire éblouissant, candidate ? « Laseule chose qui nous intéresse,c'estle sport » , bougonnent-ils. Elle bondit : « Ah oui ? » Et elle se lance dans un commentaire expert sur le futur match France-Ukraine. Ils sont épatés.
Le sport, c'est son terrain. Ils ne savent pas - et fine mouche, elle ne dit pas - qu'elle a été championne de demi-fond, qu'elle a longtemps été mariée à Didier Otokoré, footballeur de l'AJ
Auxerre, qu'elle fait partie de la commission sports au PS." (La suite...)
Safia Otokoré est donnée comme possible gagnante surprise dans la circonscription de Fourgous député-maire d'Élancourt.
Le magazine sait bien qu'un département avec 12 députés sarkozystes sortants ne peut avoir que des "surprises"; et les résultats du 2e tour de la présidentielle sont encourageants.
Ou bien, comme à Trappes, Élancourt, La Verrière, mais aussi Coignières, Mantes-Val Fourré, Versailles-Jusieu, Ségolène est sortie royalement en tête ; ou bien les députés sortants commencent à
lasser, après 21 ans (Boutin), voire 30 ans (Pinte) à l'Assemblée !
La campagne de Safia est animée : après des débats autour d'une "parachutée" qui est maintenant une mère de famille au quotidien dans sa ville, tous les socialistes savent bien que c'est dans le
rassemblement qu'ils auront la victoire.
En prime, ce samedi 2 juin, Ségolène Royal elle-même vient accompagner son amie Safia en campagne sur le marché
de Trappes ! Elle pourra y remercier ses électeurs ; avec 70 %, Trappes a fait le meilleur score de l'Ile-deFrance, et ce sera sa première visite dans les
Yvelines.
Les merveilles de la video sur Internet permettent de constater qu'il y a une certaine continuuité dans nos idées.
Retrouvons par exemple cette "Heure de vérité", sur Antenne 2 avec la ministre de l'Environnement de l'époque. Valeurs, développement durable, environnement, ouverture... : déjà il y a 15 ans.
Aujourd'hui, c'est Charles FITERMAN,
ministre du gouvernement Mauroy en 1981, qui rappelle son soutien fidèle à Ségolène Royal, et ses bonnes raisons d'espérer la voir candidate de la gauche en 2012 :
